Le journal France Soir s'en réfère ainsi à l'essayiste belge Marie Peltier : « la reprise des codes complotistes remonte à la constitution de La France insoumise et s'est poursuivie pendant la campagne. Au premier tour de l'élection législative dans la quatrième circonscription des Bouches-du-Rhône, Jean-Luc Mélenchon devance ses concurrents, avec 34,3 % des voix[176],[177]. Pour LCI, ce plan A consiste à « refonder l’Union européenne de manière plus démocratique, sociale et écologique »[286]. Il propose une candidature « hors cadre de partis », donc hors du cadre du Front de gauche, et invite donc les citoyens à le soutenir, notamment sur le plan financier ; pour cela il lance le mouvement La France insoumise (LFI), dont l'outil principal est une plate-forme internet participative[122]. Ils sont en cela soutenus par l'association de gauche de critique des médias Acrimed[418]. Largement perçu par les organes de presse comme le meilleur orateur parmi les principaux candidats[134], Jean-Luc Mélenchon choisit d'opter pour une « stratégie numérique » visant à utiliser des médias nouveaux afin de pouvoir s'exprimer en dehors du cadre des médias traditionnels, sans pour autant les laisser de côté. On note cependant des effets inattendus de la mondialisation277. Son élection entraîne son départ du Parlement européen et son remplacement par la communiste Marie-Pierre Vieu, qui le suivait sur la liste de candidature du Front de gauche dans la circonscription Sud-Ouest en 2014. Alors que Jean-Luc Mélenchon participe à la marche en compagnie d'autres députés de La France insoumise et du rabbin Gabriel Farhi, il en est exfiltré après avoir été pris à partie par une quarantaine de personnes, en particulier des membres de la Ligue de défense juive (LDJ), l'accusant de complaisance à l'égard de l'antisémitisme. Selon le magazine mensuel Capital cette mesure coûterait 217 milliards d'euros[221]. Ce n’est pas avec des communiqués que l’on pourra abattre un Mirage ou détruire un char ! ». En mars 2021, il se prononce en faveur d'une sortie totale du nucléaire civil avant 2030[222]. Publiciser et politiser la question administrative : généalogie de la réforme néo-libérale de l'État dans les années 1970 », Pierre-André Taguieff, Sur la Nouvelle Droite : jalons d'une analyse critique, p. 55. Il se forme à la rentrée 1968, à l'initiative d'Yvan Blot[5], lorsque les élèves de l'École hostiles à Mai 68 et qui souhaitent « combattre le gauchisme » commencent de se regrouper[6]. Il est ainsi nommé d'après l'« immense pendule » qui trônait dans l'appartement d'Yvan Blot[15][source insuffisante] — choix jugé « le moins mauvais sans pour autant être excellent »[16]. Ce site vous permettra de consulter de façon détaillée les crimes et délits enregistrés en France entre 2012 et 2019 par les services de Police Nationale et de Gendarmerie Nationale. Les Échos, commentant cette interview, signalent que 1 168 entreprises ont été expropriées entre 2002 et 2012, dont plus de 250 nationalisées en 2010[316],[317]. En réponse, Jean-Luc Mélenchon avance trois arguments : certains élus français font pire que lui, tels Marine Le Pen ou Harlem Désir ; ses statistiques ont été amoindries en milieu de mandat par ses campagnes pour l'élection présidentielle de 2012 et pour les législatives qui ont suivi, comme cela a également été le cas pour Eva Joly ; et — « c'est le cœur de son argumentation » selon Mediapart — il rend en permanence des « arbitrages avec des actions de terrain », assumant se rendre « là où [il est] le plus utile »[72]. Son programme reprend celui de 2012, « L'Humain d'abord », actualisé dans l'optique d'une réponse au changement climatique, et comporte comme grands axes : sortir des traités européens, construire une sixième république, mener une transition énergétique, et développer l'économie de la mer[136],[135]. Le Parti de gauche (PG) est fondé le 1er février 2009 lors du Congrès de Limeil-Brévannes, en présence de quelque six cents délégués venus de tous les départements dans lesquels des comités du parti se sont formés. »[494],[495],[496],[497],[498] puis « il ne faut opposer aucune résistance, nous sommes des gens honnêtes »[499]. Le prix Lyssenko est attribué chaque année par le club depuis 1990. ». J'en appelle à l'énergie du plus grand nombre contre la suffisance des privilégiés. Après la mort de Fidel Castro, Jean-Luc Mélenchon déclare ne pas approuver la façon dont était organisé politiquement Cuba[322]. Il dénonce ensuite le bombardement de la base aérienne d'Al-Chaayrate mené par l'armée américaine contre l'armée syrienne, qu'il qualifie « d'acte criminel et irresponsable » et accuse François Hollande et Angela Merkel, qui soutiennent cette initiative unilatérale des États-Unis, de « donner à Donald Trump le pouvoir solitaire de frapper qui il veut quand il veut », craignant « une montée vers la guerre »[367],[368],[369]. La semaine suivante, après deux meetings en salle comble à Vierzon et Limoges, il réunit près de soixante-dix mille personnes place du Capitole à Toulouse et près de cent vingt mille au Prado à Marseille le 14 avril. Alain Madelin est l'un des plus assidus aux colloques et séminaires jusqu'en 1984. Pour Jean-Luc Mélenchon, c'est une victoire de la majorité sortante, qui emporte 80 % des suffrages et, parmi elles, de celle prônant l'alliance au centre[66]. D'après Le Monde, la vidéo dans son intégralité « montre une réalité plus complexe où M. Mélenchon alterne énervements et retours au calme et où il dit qu’il ne s’oppose pas aux perquisitions »[506]. […] On ne peut pas se dire féministe en affichant un signe de soumission patriarcale. Soutien de l'ancien président brésilien Luiz Inácio Lula da Silva emprisonné pour corruption, il rend visite à ce dernier dans sa prison en septembre 2019 lors d'un voyage en Amérique latine[323]. Cependant, le volet international de son programme pose plusieurs questions, notamment sur la volonté de rapprochement avec la Russie : Mélenchon souhaite faire retirer le système de défense antimissile de l'OTAN en Europe de l'Est avant de quitter l'organisation et convoquer une conférence internationale sur la Crimée afin de statuer sur de nouvelles frontières à la suite de l'annexion russe de 2014. Cependant, Jean-Luc Mélenchon déclare qu'il soutient l'intervention militaire de la Russie en Syrie, à l'appel de Bachar el-Assad, pour que « Daech soit vaincu, écrabouillé, et que les Kurdes gagnent » [349],[324]. Le Club de l'horloge a aussi développé ou repensé des théories sur les inégalités naturelles entre individus ou groupes d'individus (notamment avec La Politique du vivant, 1979). À travers l’organisation de colloques et la publication d'ouvrages, il intervient dans le débat d'idées en mettant en avant la liberté économique, la souveraineté du peuple et l'identité de la nation. Cette expérience l'amène progressivement à prendre ses distances avec la conception léniniste du parti (« ma vraie divergence, c'est que je n'ai jamais cru à l'avant-gardisme », a-t-il expliqué plus tard). Il déclare être célibataire depuis un divorce[197]. Mélenchon estime que la dissuasion nucléaire « demeure l'élément essentiel de notre stratégie de protection » mais qu'elle doit « être dépassée à terme »[397]. En effet, il défend le « libéralisme intégral » en matière économique depuis 1979[37] (illustré lors de la publication de l'ouvrage collectif Le Grand Tabou en 1980), le nationalisme (par exemple avec L'Identité de la France, 1985), les mérites, selon le club, de la colonisation (positive) avec le capitalisme, menée par les puissances européennes ou occidentales jusqu'aux années 1960. Jean-Luc Mélenchon est régulièrement critiqué pour ses positions sur la guerre civile syrienne[349]. Le Club fait l'éloge du « bon sens populaire » contre les supposées « confisc[ations] » de la démocratie, discours qui cache en réalité, pour Lamy, « l'obsession migratoire » ; on y espère en effet, au titre du RIP l'arrêt de l'immigration, le rétablissement de la peine de mort et la réforme du Code de la nationalité[41]. En 2003, Élisabeth Roudinesco est « lauréate » du prix Lyssenko « pour sa défense et illustration de la psychanalyse ». Au sujet de la crise de Crimée intervenue à la suite de la crise ukrainienne, Jean-Luc Mélenchon déclare : « Les ports de Crimée sont vitaux pour la sécurité de la Russie. Sa signature et sa volonté maintenue de participer à cette manifestation controversée, contrairement à certains membres de son groupe parlementaire qui préfèrent s'abstenir[259], lui valent des critiques de la gauche à la droite de l'échiquier politique, en raison de l'identité de plusieurs personnalités et associations à l'origine de la tribune[260]. En octobre 2018, le site Mediapart écrit que Jean-Luc Mélenchon entretient « une relation extra-professionnelle » avec Sophia Chikirou, sa conseillère en communication, de vingt-huit ans sa cadette[199]. The hottest pornstars and MILFs with Big Tits En 2017, le candidat à la présidentielle propose également la création de centres de santé publiques avec des médecins fonctionnaires[236]. Le 18 novembre, à l'occasion d'une rencontre avec le Parti communiste français, les deux partis ont annoncé leur alliance sous forme de « partenariat », dans le cadre d'un « front de gauche pour une autre Europe démocratique et sociale, contre la ratification du Traité de Lisbonne et les traités européens actuels ». Lors du congrès du Mans, en novembre 2005, Trait d'union dépose une contribution. », « serait une erreur gigantesque, peut-être le seuil d'une guerre beaucoup plus large que toutes celles que nous avons vues dans cette région », « Daech soit vaincu, écrabouillé, et que les Kurdes gagnent », « il ne peut pas être question de laisser Poutine régler le problème, [...], je suis pour que l'ONU règle le problème. Poursuivi en diffamation par Paulo Paranaguá, Jean-Luc Mélenchon refuse de se rendre aux convocations du juge. Élève au lycée Rouget-de-Lisle de Lons-le-Saunier, il est un des meneurs du mouvement lycéen de la ville[24],[27],[28] lors de Mai 68. Il est également soutenu toute la campagne durant par de nombreuses initiatives émanant du Discord insoumis, une plate-forme numérique depuis laquelle se coordonnent plusieurs milliers de sympathisants sur les réseaux sociaux. ». Des altercations plus violentes contraignent les enquêteurs à mettre précipitamment fin à la perquisition selon le parquet de Paris[500],[497], ce qui est contesté par Mélenchon[499]. Il devient un des principaux dirigeants mitterrandistes de la fédération de l'Essonne, ce qui le conduit au poste de premier secrétaire de cette fédération au congrès de Valence en 1981 — il conserve cette fonction jusqu'en 1986[15]. Le 22 février 2018, la cellule d'investigation de Radio France publie dans France Info un montant de salaires déclarés étonnamment bas de 7 949 €. Le candidat du Front de gauche connaît une progression constante dans les sondages ; le sondeur CSA lui attribue ainsi 13 % d'intentions de vote le 21 mars[88]. Puis, à la suite de l'affaire Jean Sarkozy portant sur la direction de l'EPAD, situé dans le département des Hauts-de-Seine, au sein du quartier de la Défense, il signale sa disponibilité pour mener la liste Front de gauche en Île-de-France pour remporter la bataille de la direction à gauche. Pierre-Marie Guastavino estime que « c'est là que la cristallisation s'est produite »[2]. Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Membre du Parti socialiste (PS) à partir de 1976, il est successivement élu conseiller municipal de Massy en 1983, conseiller général de l'Essonne en 1985 et sénateur en 1986. Ces positions polémiques génèrent des critiques l'accusant de « reprendre fidèlement l'historiographie officielle de Pékin »[388],[389],[390]. Le nôtre s'est déjà trompé et on sait de quel prix il faut payer dans l'histoire le fait d'avoir manqué le train qui passait, « Rocard, qui plaidait pour le consensus quand il était à Matignon, ne parle plus d’alliance avec les centristes mais d’un axe avec les socialistes, les communistes et les écologistes. À ce titre, il déclare en août 2005 : « Il n'y a pas cinquante candidats pour l'élection présidentielle de 2007 au PS, au point où nous en sommes, il n'en reste que deux : Laurent Fabius et Dominique Strauss-Kahn. J’adjure de comprendre : il ne faut pas que le dernier mot reste à la force contre une révolution ! Il figure parmi les élus les moins présents dans l'hémicycle[460],[459]. Pour Mathias Reymond d'Acrimed, Jean-Luc Mélenchon subit un traitement médiatique qu'aucun autre politique n'avait subi avant lui, excepté Jean-Marie Le Pen en 2002[153]. Sylvain Laurens, « Le Club de l'horloge et la haute administration : promouvoir l'hostilité à l'immigration dans l’entre-soi mondain ». Dans son programme pour l’élection présidentielle française de 2017, il propose que la France, et notamment les Antilles et la Guyane françaises, rejoigne l’Alliance bolivarienne pour les Amériques (ALBA)[208],[209]. Mediapart souligne qu'« il est surtout minoritaire au sein de ce collectif, et peine à construire des relations de travail fructueuses avec les Allemands à sa tête »[72]. D'après le journaliste politique Alexandre Poussart, la presse de droite tombe « parfois dans la caricature anticommuniste »[154]. Je vais le soutenir, mais pas de chèque en blanc[60]. », « Il n'a pas réussi à capter comme il l'espérait l’électorat populaire, et plus précisément l’électorat de la précarité, parce qu'il s'est adressé précisément à cette population, mais avec un langage très idéologique, très historico-théorique sur l'histoire de la République et de la Révolution française, « porte les traces de cette instabilité de la veine populiste, teintée parfois de violence verbale, antiélite et antigermanique, parfois d'universalisme bienveillant, et qui hésite entre plusieurs sources de légitimité et plusieurs publics, Jean-Luc Mélenchon est accusé de porter un discours, « la reprise des codes complotistes remonte à la constitution de, « flirt appuyé avec les sentiments xénophobes, « les proches du Front de gauche et les électeurs de Jean-Luc Mélenchon en 2012 sont un des trois foyers d’expression de l’antisémitisme très forts », « Tous ceux qui connaissent l’engagement constant de notre parti et de Jean-Luc Mélenchon contre toute forme d’antisémitisme n’ont pas dû en croire leurs oreilles, « rouge-brun, qu’aucun historien ou politiste ne peut considérer comme raisonnable », « ne [met] pas en doute l’empathie de M. Mélenchon à l’égard du drame vécu par Mme Knoll », « il faut une cohérence de discours et d’action », « Quand le leader de La France insoumise aurait-il cédé à une mauvaise pente ? "Les comptes de campagne des candidats tous validés", par Yann Bouchez et Anne Michel, "Perquisitions à la France Insoumise: l'intégralité des images de Quotidien. Il est ensuite journaliste à La Dépêche du Jura, collabore ponctuellement en qualité de dessinateur à l'hebdomadaire catholique d'information Voix du Jura et dirige La Tribune du Jura, le mensuel de la fédération socialiste du Jura, qui finit par péricliter, à la fin des années 1970[24],[25]. Here's how to win: Enter in 3️⃣ ways (choose any or all for more chances to win): 1️⃣ Like this post, tag 2 friends & follow @uofuartspass to be entered to win! Mais son équipe est traumatisée par l'échec de 2012 à Hénin-Beaumont[169]. Il demande que soient montrées les preuves mentionnées par Emmanuel Macron concernant l'utilisation d'armes chimiques par Bachar el-Assad[371],[372],[373]. En octobre 2018, Jean-Luc Mélenchon fait l'objet d'une demande de suspension temporaire par le conseil de l'Ordre du Grand Orient de France à la suite de son comportement lors des perquisitions menées à son domicile parisien et dans les locaux de La France insoumise[36]. Du côté maternel, son grand-père, François Bayonna, est né en 1889 près de Valence, en Espagne et est marié à Jeanne Emmanuelle Caserta, une Italienne originaire de Sicile[2]. Raoul Audouin, Yvan Blot, François-Georges Dreyfus, Jean-Yves Le Gallou. En 2015, Jean-Luc Mélenchon dément tout soutien à Vladimir Poutine, déclarant que contrairement à lui, il est « écosocialiste », « de gauche », « républicain au sens que les Lumières victorieuses de 1789 ont donné à ce mot »[332]. Le magazine L'Express indique que son intérêt pour l’Amérique du Sud remonte aux années 1970 et à ses rencontres avec des réfugiés chiliens[290]. Si Jean-Luc Mélenchon se qualifie lui-même de socialiste républicain, son ambition est de parvenir à « être le rassembleur de toute la gauche » sur une ligne politique antilibérale voire anticapitaliste, dans le cadre de ce qu'il désigne comme « révolution citoyenne », pour gouverner et transformer profondément la France dans le sens du progrès massif de l'intérêt général (refondation républicaine). La veille du dépôt des motions, un accord est finalement conclu entre les sept contributions de l'aile gauche du PS, et Jean-Luc Mélenchon fait partie des signataires de la motion C intitulée « Un monde d'avance », conduite par Benoît Hamon[64]. Le dossier est confié aux policiers de l’Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales (OCLCIFF)[482]. La condition principale se base sur une proposition de la « commission Jospin » pour les candidatures présidentielles, suggérant de remplacer les habituelles 500 signatures d'élus par 150 000 parrainages citoyens[195],[196]. C'est le dégoût des élites — méritent-elles mieux ? En effet, cette omission a empêché d’engager une procédure au civil[465]. Bachelier en 1969 après avoir été scolarisé au lycée Rouget-de-Lisle de Lons-le-Saunier[13], Mélenchon est titulaire d'une licence de philosophie obtenue à la faculté de lettres et sciences humaines de l'université de Besançon en 1972, ainsi que d'une licence en lettres modernes[14],[7],[15]. Sur les trois premières années du mandat, il a signé le procès-verbal de présence de sa commission, celle des Affaires étrangères, à 16 reprises, sur un total de 133 réunions, selon le décompte de Parlorama, site d'observation de l'activité parlementaire[72]. Le 27 mars 2012, le Front de gauche réunit vingt-trois mille personnes lors de son meeting à Lille[90]. Aussi, ses prises de position sur l'enseignement de la langue bretonne par les écoles Diwan et le financement de ces écoles par l'État[273] et sur certains régionalistes bretons lui ont attiré l'opposition d'autonomistes bretons, de linguistes[274] et de socialistes de la région Bretagne, qu'il avait accusés de favoriser les « autonomistes », lors de l'organisation de la Breizh Touch, en septembre 2007 à Paris[275]. J'ai fait mon temps à organiser la vie d'un parti. En mars 2000, il accepte de participer au gouvernement de cohabitation de Lionel Jospin comme ministre délégué à l'Enseignement professionnel auprès du ministre de l'Éducation nationale Jack Lang, après avoir refusé les secrétariats d'État au Logement en 1997[1] et à l'Outre-Mer[24]. Jean-Luc Mélenchon est élu président du bureau national, puis coprésident de ce parti (en binôme avec Martine Billard) lors du congrès du Mans en novembre 2010. En 2011, en réaction aux propos de Claude Guéant selon lesquels les Français « ont parfois le sentiment de ne plus être chez eux » du fait d'une « immigration incontrôlée », Jean-Luc Mélenchon critique « l'idée d'une France blonde aux yeux bleus »[240] ; il affirme par la suite ne pas pouvoir « survivre dans un pays où il n'y a que des blonds aux yeux bleus »[241]. Lors de certaines interviews, dans cet entre-deux-tours comme lors de celui des élections législatives qui suivent, il appelle cependant à ne pas voter pour le FN[165],[166]. En 1986, le club reçoit le prix Renaissance des lettres du Cercle renaissance pour L'Identité de la France[28]. » D'après les études d'opinion, les partisans de Jean-Luc Mélenchon ont voté majoritairement pour Macron, alors que le sondage proposé sur la plate-forme Internet des Insoumis donnait le vote Macron à seulement 34 %[158]. Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Durant la campagne présidentielle concomitante, Philippe Baccou, l'un des membres du « noyau dur » du club, appartient au groupe des Horaces, est l'un des principaux conseillers officieux de Marine Le Pen[33],[34]. Fondateur avec Julien Dray de la Gauche socialiste en 1988, il s'oppose à la politique d'ouverture du second septennat de François Mitterrand, prenant pour cible Michel Rocard et la « gauche molle », ainsi qu'à l'entrée de la France dans la première guerre du Golfe — contre la majorité de son parti et le président[24]. Il ne se sent pas représenté. En 1992, il appelle à voter pour le traité de Maastricht, qu'il considère comme un « compromis de gauche ». À partir de juin 2016, des enquêtes d'opinion donnent Jean-Luc Mélenchon devant le président sortant François Hollande comme devant le Premier ministre Manuel Valls en termes d'intentions de vote à la présidentielle et indiquent qu'il est le candidat préféré des sympathisants de gauche[129],[130]. Bien au contraire, elle est réfléchie et entre dans une stratégie globale de M. Mélenchon : celle de construire une « opposition populaire » face à cette fameuse « caste » économique, politique et médiatique qui concentre, selon lui, tous les pouvoirs. Catherine Champrenault, procureure générale de la cour d'appel de Paris, qualifie de coup de force le comportement des membres du mouvement[503], tandis que Jean-Luc Mélenchon dénonce des images tronquées par l'émission Quotidien, qualifiant le choix éditorial de diffuser certaines images de manipulation médiatique [504]. Il rassemble jusqu'à cent vingt mille personnes, selon les organisateurs, lors d'une « marche pour la Sixième République » organisée place de la Bastille, à Paris, le 18 mars[87]. Jean-Paul Antoine (pourtant absent lors de la réunion constitutive)[17], Yvan Blot, Jean-Yves Le Gallou, Henry de Lesquen, Didier Maupas et Bernard Mazin, tous anciens élèves de l'École nationale d'administration (ENA), sont ensuite présentés comme les membres du noyau fondateur[15]. Lors de la campagne pour les législatives, Jean-Luc Mélenchon attaque l'ancien ministre de l'Intérieur, alors Premier ministre, Bernard Cazeneuve en déclarant qu'il « s'est occupé de l'assassinat de Rémi Fraisse », un militant écologiste tué par une grenade de gendarme en 2014. Répondre. Il dénonce également le fait que le président de la République puisse accepter d'être nommé chanoine de Latran par le pape[252],[253],[254]. Populiste, moi ? Jean-Luc Mélenchon et son mouvement entretiennent des relations houleuses avec le CRIF, en raison notamment de leur discours véhément à l'égard de la politique menée par Israël, du nationalisme israélien et du Premier ministre Benyamin Netanyahou[449]. Celle-ci a publié alors dans Les Temps modernes un article où elle accusait certains membres du Club de l'horloge d'« antisémitisme masqué ». Au cours de la campagne électorale, Alexandre Orlov, ambassadeur de Russie en France, déclare que s'il était français, il voterait « pour le parti républicain », quoiqu'il « aime bien Jean-Luc Mélenchon »[346]. Jean-Luc Mélenchon qualifie cet article d'agression, rappelle être célibataire, et décrit l'épisode comme une opération de police politique fomentée par la « macronie »[200],[487]. Deutsch (de) Italiano (it) Беларуская (be) Log in. Il qualifie également de « bavardages » les menaces du gouvernement français de saisir la Cour pénale internationale pour « crimes de guerre », après les bombardements russes et syriens de septembre 2016 lors de la bataille d'Alep, estimant que « la première victime d'une guerre, c'est la vérité, tout le monde se bat à intoxiquer et raconter des salades pour les faire passer dans son camp »[17],[361],[362],[363],[364],[324].